Le MIAM (Musée International des Arts Modestes) fête cette année ses dix ans. Un endroit réjouissant et des œuvres effectivement qui ne se prennent pas trop au sérieux. Art quasi brut , Tramp art, art Tiki, art de détenu… Et même de l’art touristique : une collection de cartes postales monochromes noires représentant des lieux « la nuit », « by night » , « de noche », « bei nacht »…
Sète est aussi une ville qui s'impose pour la pratique du nécrotourisme. Se rendre d’abord sur la tombe de Paul Valéry au Cimetière marin auquel il avait consacré un célèbre poème en 1920. Puis sur celle d’un autre illustre sétois : Georges Brassens qui s’était, lui, fendu d’une Supplique pour être enterré à la plage de Sète se vantant au passage que du coup son cimetière serait bien plus marin. Hélas, les autorités municipales ne le permirent pas et il fut inhumé, comme tout le monde, au cimetière des pauvres du Py. Où il a visiblement bien plus de visites que Valéry.
Et puis ensuite se baigner dans la mer, la mer toujours recommencée.
Et puis ensuite se baigner dans la mer, la mer toujours recommencée.
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