Vue depuis la maison du peintre Nicolas de Stael (1914-1955)
On avait décidé d’explorer la baie des milliardaires. Seule manière réaliste pour nous d’appartenir, ne serait-ce que quelques heures, à ce club très fermé : gagner vite fait le gros lot à un truc à gratter. De l’aléatourisme. Si on gagne on claque tout dans l’après-midi si on perd on ne dépense rien. Pas un kopek jusqu’au soir . C’est ce qui est arrivé. Heureusement les baignades et les somptueux paysages sont gratuits et puis il n’y a pas de magasin, pas de bistrot dans cette réserve dorée, rien à dépenser. Disons le tout net pour éviter tout suspense inutile on n’a pas vu de milliardaires ou alors peut-être de loin dans un de ces énormes yachts qui mouillaient dans le golfe. Dont un battant pavillon de la République Populaire de Chine.
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